Date de création : 18.03.2011
Dernière mise à jour :
09.03.2022
86 articles
>> Toutes les rubriques <<
· Poèmes d'amour (26)
· Poèmes de réflexion (22)
· Poèmes de Voyage (10)
· Poème de joie (7)
· Poèmes d'amitié (5)
· Poèmes de nuit (4)
· Poèmes d'humour (2)
· Poèmes sur la mort (2)
· Poèmes sur la mer (1)
merci pour ton passage chez moi !
tu évoques l'amour ! et oui tout un programme qui malgré lui.... les êtres
Par birikine, le 19.11.2025
merveilleux d une siplicite vraie mpb tu te rappéles qui je suis continue à être ainsi tendresse
Par Anonyme, le 18.04.2025
merci pour votre passage
j'ai apprécié quelques uns de vos écrits
une autre visite s'impose
bon dimanche
m
Par mfrance-poesie, le 27.02.2021
très original comme acrostiche !
félicitati ons !
Par Anonyme, le 02.07.2020
magnifique poème pour celle que vous porter dans votre coeur,plein d'amour ,de tendresse et de chaleur... http
Par asdeuxcoeurs, le 27.03.2020
· J'ai 40 ans,
· La sirène et le marin paumé
· Pour toi ma merveille
· Baiser à savourer
· Je t’apporte une larme
· L'arbre de vie
· Comptine coquine
· Pour que tu tombes
· L’homme à la rose
· Ma Bro
· L'arbre à mots
· Moi je ris
· Les mots
· Souvenir enfantin
· Les traces que nous laissons
aime amis amitié amour amour passé argent background bretagne bretonne chez cupidon ange mome desespoir
Vêtue d’une longue robe en laine verte et d’une écharpe grise,
Boucles rousses chevauche sa monture à sa guise.
Une belle jument blanche qu’elle eu étant enfant,
Et avec qui elle aime se balader au grès du vent.
Fraichement débarquée d’Irlande à l’époque des moissons,
Elle s’adapte à merveille en pays breton.
Sa peau de neige et c’est yeux émeraude,
Font d’elle un beau mélange de couleurs chaudes.
Agrémentés de ravissantes taches de rousseurs,
Son fin minois et sa taille fine nous laissent doux rêveurs.
Quant à sa voix fluette et discrète accompagné d’un fort jolie accent,
Elle nous transporte explorer les légendes d’antan.
Elle nous conte les sirènes des profondeurs,
L’or des farfadets et les feux follets enchanteurs.
Mais le soir dans sa demeure elle s’endort seule et triste,
Car enfui de son cœur elle pense à cet artiste.
Celui qui lui écrivait des poèmes à faire tomber les larmes,
Et qui à jamais repose sous les branches d’un charme.